Ces prélèvements, notamment grâce à l'augmentation de la taxe sur la production de matières premières et de la taxe à l'exportation de pétrole pourraient dépasser 3 milliards de dollars, mais dans le même temps l'impôt sur les bénéfices diminuera, a-t-il indiqué.
"Dans ce dernier cas, les prélèvements supplémentaires nets ne dépasseront pas 3 milliards", a-t-il expliqué.
Prochainement, a poursuivi Arkadi Dvorkovitch, le ministère formulera sa position définitive sur cette question et des consultations avec les représentants du secteur pétrolier de l'économie se dérouleront mercredi.
Le gouvernement projette d'examiner la question de la modification des taxes à l'exportation du pétrole et de l'impôt lors de sa séance le 26 février.