Cela est de 2,5% davantage que l'année précédente, a précisé le ministre.
Evoquant les perspectives du changement des volumes de l'extraction de brut en Russie, Viktor Khristenko a indiqué qu'ils seraient sans doute fonction de deux composantes. "Tout d'abord, c'est la base des plans inconditionnels des compagnies pétrolières qui ne sont pas du tout nombreuses chez nous, et ensuite, ce sont ces décisions qui se préparent et sont examinées à présent pour mettre en place des mécanismes d'encouragement de la prospection de nouveaux gisements", a ajouté le ministre russe de l'Industrie et de l'Energie.
"Si ces deux facteurs convergent, nous allons sortir de l'actuelle situation de stagnation en matière d'extraction de brut pour emprunter finalement un scénario plus optimiste", a noté en conclusion Viktor Khristenko.