L'initiative doit permettre "aux pays qui respectent le régime de la non-prolifération de avoir accès aux services du cycle du combustible nucléaire indépendamment de la conjoncture internationale sans toutefois se doter des technologies d'enrichissement et de transformation de l'uranium", a déclaré le représentant de la Russie.
Dans cette optique, la Russie a décidé de créer un Centre international d'enrichissement d'uranium à l'usine chimique d'Angarsk, dans la région d'Irkoutsk (Sibérie orientale).
Le centre est appelé à garantir un accès aux services d'enrichissement de l'uranium pour les pays qui participent aux activités du centre sans leur transmettre la technologie, a-t-il noté.
Le 10 mai dernier, la Russie et le Kazakhstan avaient signé un accord sur la création du centre à Angarsk.