"Jusqu'à ce jour, un seul sommet de la Caspienne avait eu lieu en 2002, dont les résultats ne sauraient être qualifiés de vraies percées. Aussi, les ententes enregistrées aujourd'hui entre les leaders de la Russie, du Kazakhstan, de l'Azerbaïdjan, du Turkménistan et de l'Iran témoignent-elles de sérieux progrès dans le processus de négociations", a estimé le député.
La région de la mer Caspienne se trouve au centre d'un "jeu géopolitique entre les principales forces mondiales", et la solution la plus rapide possible des problèmes liés au statut de la mer et à la protection de ses ressources biologiques est aussi une question de sécurité pour les Etats riverains de la Caspienne, a fait remarquer Ahmed Bilalov.
"Le fait que les parties sont arrivées à se rendre compte des intérêts stratégiques communs est attesté par le paquet de projets économiques conjoints concerté aujourd'hui", a-t-il poursuivi.
Il est aussi question de la mise en valeur du potentiel de transport de la région de la mer Caspienne. L'adhésion des pays asiatiques au "système de communication" de la mer Caspienne offrira à ces Etats la possibilité d'élargir substantiellement leur compétitivité, est persuadé le premier vice-président du Comité pour la CEI et les liens avec les compatriotes de la Chambre basse du parlement russe.
