"Si la Russie adhère à l'OMC (...) avec le soutien de l'Union, nous aurons des échanges encore plus importants et une pénétration mutuelle de capitaux encore plus importante", a-t-il estimé, rappelant qu'aujourd'hui la part de l'UE dans le commerce extérieur russe dépasse déjà le seuil de 53%.
"A la fin de l'année en cours, nous nous attendons à un nouveau résultat historique, en termes de commerce et d'investissements", a-t-il noté.
L'absence de négociations sur le nouvel Accord de partenariat ne signifie pas que l'édifice des relations russo-européennes se fissure", a estimé l'assistant présidentiel.
M. Iastrjembski a rappelé "avoir accompagné" huit sommets Russie-UE.
"Même dans les périodes les plus difficiles, les rapports (Russie-UE) avançaient ne serait-ce que sur un axe. De ce fait, nos rapports avec l'UE se développent bien, malgré certains phénomènes de crise", a encore noté M. Iastrjembski.