Atteindre cet objectif est un gage de développement économique stable, a-t-il estimé le responsable ministériel.
Selon le vice-ministre, le MERT prédit une augmentation de la part des investisseurs étrangers ayant un avis positif sur la politique et la législation de la Russie en matière d'investissements étrangers, de 50% actuellement à 70% en 2010.
La Russie a besoin d'un marché concurrentiel et "il convient de ramener la part des marchandises fournies par les monopoles naturels dans le PIB de 11% actuellement à 8,5% vers 2010", a estimé le vice-ministre.
En trois ans, il faudra augmenter la productivité du travail de plus de 20%, selon lui.
Le vice-ministre du MERT a insisté sur la nécessité de relever la part des entreprises activement innovantes (10 à 11% en Russie, contre 40%, 50%, voire 60% dans les pays développés), ainsi que celle des branches de haute technicité, dont, en premier lieu, l'aéronautique civile, la construction navale, l'industrie spatiale et les technologies nucléaires, secteurs
dans lesquels, "à terme, la Russie pourrait contrôler 10% et plus du marché mondial".