"J'aurais dû présenter au parlement de nouvelles données sur les programmes de crédits bon marché, l'augmentation des pensions et retraites, la réforme de l'agriculture et la subvention des vendanges, mais au lieu de cela, je dois intervenir en président d'un pays agressé par l'une des plus grandes puissances au monde", a-t-il dit.
Le 8 août dernier, la Géorgie a déclenché des hostilités en Ossétie du Sud. Cette agression a fait des victimes parmi les civils et les soldats de la paix. La capitale sud-ossète Tskhinvali a été presque totalement détruite. La Russie a dû intervenir pour protéger les civils.
"Tant que nous sommes en vie, nous ne nous rendrons pas", a martelé le président géorgien, en remerciant l'Union européenne (UE), les Etats-Unis et d'autres pays de leur soutien.
Selon certains politiques et experts russes, les événements en Ossétie du Sud étaient nécessaires pour l'administration géorgienne, pour détourner l'attention de la population du pays des problèmes réels.