Les marchés européens et asiatiques ont ressentis en septembre les conséquences négatives de la crise financière aux Etats-Unis.
"On aurait tort de se pencher sur ces problèmes complexes dans le seul cadre du G7 ou du G8, il faut que d'autres grands pays qui ont des intérêts dans le monde des finances soient engagés", a estimé M. Medvedev.
A son avis, il convient d'élaborer un mécanisme d'implication d'autres pays dans la mise en place d'une nouvelle architecture financière: cela pourrait être le format du "G8 plus outrich" (un dialogue élargi du G8 avec l'Afrique du Sud, le Brésil, la Chine, l'Inde et le Mexique), ou d'autres variantes.
"Il est parfaitement évident que sans la participation de ces acteurs des relations financières internationales nous serons impuissants à élaborer une nouvelle architecture financière", a estimé le président russe.