"Le parlement tadjik a ratifié mardi le protocole de Kyoto et c'est une grande responsabilité pour nous, mais le pays respectera strictement toutes les clauses du protocole", a indiqué le premier ministre tadjik Akil Akilov inaugurant la conférence.
Le gouvernement tadjik prépare une série de propositions pour les pays donateurs et les organisations internationales concernant la mise en oeuvre du Protocole, selon M.Akilov. "L'application du Protocole implique une nouvelle politique écologique, une baisse de l'intensité énergétique de l'économie nationale et le développement de centrales hydrauliques", a-t-il noté.
La conférence a réuni 120 délégués dont des ministres et des banquiers tadjiks, des représentants de la Banque Mondiale (BM), de la Banque asiatique de développement (BAD), de l'OSCE, de la Commission européenne, du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), de plusieurs pays étrangers (Afghanistan, Azerbaïdjan, États-Unis, Inde, Iran, Kazakhstan, Turquie) et des sociétés Norsk Hydro, Alaska Metals, Brunswick, Metals Bulletin et Herbert Smith.