Après plusieurs jours d’attente, « Gazprom » entend déposer une plainte contre l’Ukraine à la Cour d’arbitrage de Stockholm pour assurer en continu la livraison du gaz aux consommateurs européens.
Le différend gazier entre la Russie et l’Ukraine est apparu à la fin de l’année 2008, quand la partie ukrainienne n’a pas payé la totalité des sommes pour le gaz fourni et a refusé ensuite de signer un nouveau contrat. Et comme résultat, à partir de 10 heures du matin du 1er janvier, heure de Moscou, après l’expiration de l’ancien contrat, le gaz naturel russe a cessé d’être livré à l’Ukraine, mais continuait d’être fourni à des clients en Europe. Pour ne pas rester sans gaz, la compagnie ukrainienne « Naftogaz » a commencé à se servir directement sur le gaz transitant. D’ailleurs, la partie ukrainienne l’a annoncé publiquement. Afin que les Européens n’en souffrent pas, la Russie a été obligée d’augmenter les quantités du gaz livrées par d’autres systèmes de transport. Or cela ne pouvait durer longtemps ainsi, a déclaré le porte-parole officiel du consortium « Gazprom » Sergueï Kouprianov.
Il a été décidé de saisir la Cour d’arbitrage de Stockholm de ce contentieux. Cela pour que cette instance judiciaire prescrive à la compagnie « Naftogaz d’Ukraine » d’honorer ses engagements en matière de transit, aux termes du contrat en vigueur jusqu’à 2013. Le droit suédois a un effet juridique chez nous. Nous avons, de même, exigé l’adoption des mesures qui excluraient la possibilité pour la compagnie « Naftogaz d’Ukraine » de siphonner du gaz appartenant à des consommateurs européens.
Après cette déclaration de « Gazprom » « Naftogaz » a fait savoir son intention de déposer sa demande reconventionnelle. La compagnie russe a appelé absurde les démarches de l’Ukraine.
Le différend gazier entre la Russie et l’Ukraine est apparu à la fin de l’année 2008, quand la partie ukrainienne n’a pas payé la totalité des sommes pour le gaz fourni et a refusé ensuite de signer un nouveau contrat. Et comme résultat, à partir de 10 heures du matin du 1er janvier, heure de Moscou, après l’expiration de l’ancien contrat, le gaz naturel russe a cessé d’être livré à l’Ukraine, mais continuait d’être fourni à des clients en Europe. Pour ne pas rester sans gaz, la compagnie ukrainienne « Naftogaz » a commencé à se servir directement sur le gaz transitant. D’ailleurs, la partie ukrainienne l’a annoncé publiquement. Afin que les Européens n’en souffrent pas, la Russie a été obligée d’augmenter les quantités du gaz livrées par d’autres systèmes de transport. Or cela ne pouvait durer longtemps ainsi, a déclaré le porte-parole officiel du consortium « Gazprom » Sergueï Kouprianov.
Il a été décidé de saisir la Cour d’arbitrage de Stockholm de ce contentieux. Cela pour que cette instance judiciaire prescrive à la compagnie « Naftogaz d’Ukraine » d’honorer ses engagements en matière de transit, aux termes du contrat en vigueur jusqu’à 2013. Le droit suédois a un effet juridique chez nous. Nous avons, de même, exigé l’adoption des mesures qui excluraient la possibilité pour la compagnie « Naftogaz d’Ukraine » de siphonner du gaz appartenant à des consommateurs européens.
Après cette déclaration de « Gazprom » « Naftogaz » a fait savoir son intention de déposer sa demande reconventionnelle. La compagnie russe a appelé absurde les démarches de l’Ukraine.
Le groupe gazier de coordination d’experts européens doit se réunir le 9 janvier à Bruxelles. La partie russe y sera présente. A titre de présidente de l’UE, la République Tchèque a appelé à fournir toutes les quantités de combustible en Europe. Les dirigeants tchèques insistent sur un règlement le plus rapide possible des divergences russo-ukrainiennes sur le gaz.
L’Union Européenne possède des leviers politiques et juridiques d’influence sur Kiev pour résoudre au plus vite le problème gazier, a mis en relief l’ambassadeur de Russie à l’UE Vladimir Tchijov.
Cependant, Kiev officiel n’entreprend rien pour régler la situation et renouer les pourparlers.
L’Union Européenne possède des leviers politiques et juridiques d’influence sur Kiev pour résoudre au plus vite le problème gazier, a mis en relief l’ambassadeur de Russie à l’UE Vladimir Tchijov.
Cependant, Kiev officiel n’entreprend rien pour régler la situation et renouer les pourparlers.