Selon l'ONU, des dizaines de milliers de civils se trouvent actuellement dans la zone du conflit qui oppose les forces gouvernementales au mouvement des Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE).
"Nous invitons les deux parties à prendre toutes les dispositions nécessaires pour éviter de nouvelles victimes parmi la population civile", indique la déclaration.
Après avoir résolument condamné l'utilisation de civils en qualité de "bouclier vivant" par les LTTE, les ministres se sont déclarés préoccupés par les massacres et les attentats terroristes perpétrés au Sri Lanka.
"Le temps est venu de mettre un terme au conflit. Les ministres des Affaires étrangères du G8 soutiennent tous efforts internationaux visant à atteindre cet objectif. Ils continueront de suivre attentivement l'évolution de la situation au Sri Lanka", souligne le document.