Les appels à durcir les sanctions contre l’Iran ne trouvent pas d’appui

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Les appels de la France et de la RFA à durcir les sanctions contre l’Iran ne trouvent pas d’appui auprès de la majorité des pays membres de l’UE. C’est ce qu’a démontré leur rencontre à Bruxelles, a annoncé l’édition Internet Euroobserver.
Les appels de la France et de la RFA à durcir les sanctions contre l’Iran ne trouvent pas d’appui auprès de la majorité des pays membres de l’UE. C’est ce qu’a démontré leur rencontre à Bruxelles, a annoncé l’édition Internet Euroobserver. Le Secrétaire d’Etat de France chargé des Affaires européennes Pierre Lellouche persuadait l’assistance que « les Européens devaient préparer de nouvelles sanctions, puisque l’Iran depuis déjà six ans rejette toutes les propositions de l’Occident ». Indignée par le refus de Téhéran d’envoyer son uranium pour enrichissement à l’étranger, la chancelière de la RFA Angela Merkel s’est solidarisée avec son collègue français. Or la majorité des pays de l’UE considère « qu’il faut un large accord dans cette question au Conseil de Sécurité de l’ONU ».
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