La Russie est à nouveau prête à soulever la question d’établir un régime sans visas avec l’Union européenne. Le ministre russe des Affaires Etrangères Sergueï Lavrov a déclaré que son ministère compte que Moscou et Bruxelles vont exprimer clairement leurs positions vis-à-vis cette question avant le sommet Russie-UE de cet été.
L’initiative d’abolir le régime avec visas a émergé au moment ou entrait en vigueur le traité de Lisbonne qui signifiait la réforme de l’UE. Cette réforme à son tour a apporté les limites au droit de certains pays de bloquer certaines décisions de l’Union.
Jusqu’alors tous les partenaires européens n’étaient pas encore prêts à soutenir ce projet. Aujourd’hui l’idée d’un régime sans visas est soutenue par l’Italie, la France, la Finlande et la Suède. Mais les efforts diplomatiques de la Russie se heurtent toujours à de nouveaux obstacles. Les propos d’Alexandre Strelkov, chargé de recherches dans le domaine de l’intégration européenne auprès de l’Institut de l’Europe de l’Académie russe des Sciences.
L’initiative d’abolir le régime avec visas a émergé au moment ou entrait en vigueur le traité de Lisbonne qui signifiait la réforme de l’UE. Cette réforme à son tour a apporté les limites au droit de certains pays de bloquer certaines décisions de l’Union.
Jusqu’alors tous les partenaires européens n’étaient pas encore prêts à soutenir ce projet. Aujourd’hui l’idée d’un régime sans visas est soutenue par l’Italie, la France, la Finlande et la Suède. Mais les efforts diplomatiques de la Russie se heurtent toujours à de nouveaux obstacles. Les propos d’Alexandre Strelkov, chargé de recherches dans le domaine de l’intégration européenne auprès de l’Institut de l’Europe de l’Académie russe des Sciences.
Il existe les perspectives d’un régime sans visas entre la Russie et l’Union européenne. De toute façon la partie russe fait tous les efforts dans cette direction. Mais il s’agit des perspectives lointaines. A cette étape cette année il peut s’agir de préparer et signer une feuille de route pour définir les pas techniques concrets à effectuer pour établir un régime sans visas. Mais dans ce cas aussi on ne peut pas s’attendre aux réels progrès avant l’année prochaine puisqu’il y a toujours des difficultés liées au traitement des données de l’espace Schengen.
Selon Alexandre Strelkov, aujourd’hui même les pays qui se sont prononcés en faveur de l’abolition des visas ne vont que plus souvent octroyer les visas à entrées multiples, c'est-à-dire ceux qui sont délivrés pour une période allant jusqu’à cinq ans.
Selon les experts, il existe aujourd’hui une série d’obstacles politiques. Et premièrement, c’est l’absence de confiance entre la Russie et l’Union européenne qu’on n’arrive pas encore à surmonter. Quant aux problèmes techniques, ils ne sont pas d’une grande importance.
Selon Alexandre Strelkov, aujourd’hui même les pays qui se sont prononcés en faveur de l’abolition des visas ne vont que plus souvent octroyer les visas à entrées multiples, c'est-à-dire ceux qui sont délivrés pour une période allant jusqu’à cinq ans.
Selon les experts, il existe aujourd’hui une série d’obstacles politiques. Et premièrement, c’est l’absence de confiance entre la Russie et l’Union européenne qu’on n’arrive pas encore à surmonter. Quant aux problèmes techniques, ils ne sont pas d’une grande importance.
