"Six satellites GLONASS étaient opérationnels sur orbite au moment de notre atterrissage, mais il suffit seulement de quatre appareils pour un atterrissage normal", a dit M.Ivanov arrivé à la base scientifique russe "Novolazarevskaïa", en Antarctique, en provenance du Cap, en Afrique australe, à la tête d'une délégation gouvernementale russe comprenant également le ministre des Transports Igor Levitine et le ministre des Ressources naturelles Iouri Troutnev.
L'avion Il-76 est également équipé d'un récepteur GPS, mais les pilotes "l'ont débranché pour utiliser uniquement le système GLONASS dont la précision varie de 3 à 10 m", a expliqué le vice-premier ministre.
"Malgré les critiques à l'égard de GLONASS, les satellites ne présentent pas de problème, nous produirons 24 satellites en un an et demi", a dit M.Ivanov. Le plus difficile est de produire assez d'équipements terrestres, le marché intérieur russe a besoin des millions de récepteurs, à son avis.