Intervenant lors d'une réunion du cabinet de sécurité israélien, M. Lieberman a appelé à ne pas se borner aux méthodes de règlement musclées, à l'instar des Etats-Unis en Irak, et à utiliser l'exemple de la Russie qui avait su retrouver un appui fiable au sein de la société tchétchène.
"Je ne crois pas que tous les habitants de la bande de Gaza soient des extrémistes. On peut y trouver des forces modérées intéressées à la stabilité. Il faut les soutenir et les inviter à participer au pouvoir", a-t-il expliqué plus tard à la radio Kol Israël (La Voix d'Israël).
En détachant les propos du vice-premier ministre de leur contexte, beaucoup de médias locaux les ont présentés dans un premier temps comme un appel à l'escalade des tensions dans les territoires palestiniens.
