L'autorisation concerne les Gardiens de la Révolution iraniens et les agents du renseignement présents en Irak, mais elle exclut les civils et les diplomates iraniens, selon le journal.
Le quotidien décrit cette mesure comme "faisant partie d'une nouvelle stratégie pour affaiblir l'influence de Téhéran au Moyen-Orient et l'obliger à renoncer à son programme nucléaire".
Selon le Washington Post, ces derniers temps, le commandement américain applique en Irak une politique "d'arrestation et de libération" de suspects iraniens destinée à les intimider, tout en évitant une spirale de violences dans le pays.
Auparavant, dans le courant de ce mois de janvier, des militaires américains avaient fait irruption dans la représentation de l'Iran à Erbil dans le Kurdistan irakien et en avaient arrêté six collaborateurs. Après avoir désarmé la garde, les Américains avaient retiré du bureau tous les ordinateurs et les documents et ce, sans donner aucune explication.