La menace d'actions de la part d'Al Qaïda est estompée par les violences lancées par les Irakiens contre leurs concitoyens, ce qui constitue la source principale du conflit et menace les objectifs poursuivis par les Etats-Unis en Irak.
L'Iran, considéré par l'administration de la Maison Blanche comme impliqué dans les actions terroristes sur le territoire de l'Irak, est mentionné, mais il n'est pas l'objet principal des discussions.
Le Washington Post souligne que le rapport est apparu au moment où de nombreux législateurs critiquent le plan de George Bush d'envoi de 21500 soldats supplémentaires en Irak.
Les sénateurs critiquent également les services de renseignements à qui ils ne peuvent pas pardonner le rapport analogue de 2002 sur les armes de destruction en Irak qui s'était avéré erroné.
Le rapport 2002 était à l'origine de l'adoption de la décision de lancer la deuxième campagne américaine en Irak.