"Mon administration a récemment institué un Fonds de défenseurs des droits de l'homme pour accorder des subventions à la défense juridique et à l'assistance médicale des opposants démocrates arrêtés ou passés à tabac", est-il dans la déclaration du président américain diffusée à Washington à l'occasion de la Semaine des peuples opprimés (Captive Nations Week) célébrée tous les ans aux Etats-Unis.
Affirmant que "la propagation de la liberté est un impératif moral", le locataire de la Maison Blanche a rappelé que les Etats-Unis préconisent la "défense des droits de l'homme, la promotion de la liberté et de la démocratie, ainsi que la fin de la tyrannie dans le monde entier".
"Le peuple américain croit que la flamme inextinguible de la liberté brille dans le c�ur de tout homme et que ni les gouvernements, ni les terroristes ni les tyrans ne peuvent l'étouffer", a fait remarquer George Bush.
Selon le président, "la liberté se propage à travers le monde et l'Amérique travaille coude à coude avec les démocraties nouvelles au Libéria, en Mauritanie, en Ukraine, en Géorgie et au Kirghizstan". Cependant en Biélorussie, au Myanmar, à Cuba, en Corée du Nord, en Syrie, en Iran, au Soudan et au Zimbabwe, les peuples sont toujours opprimés.
Géorgie Bush s'est dit heureux de voir que les femmes ont pris part pour la première fois aux récentes élections au Koweït et a déclaré que les Etats-Unis soutenaient les démocraties au Liban, en Afghanistan et en Irak.
