La Géorgie a accusé Moscou en affirmant que des avions russes auraient lancé une attaque aérienne dans les environs du village de Tsiteloubani. Les experts russes qui ont séjourné en Géorgie les 16 et 17 août ont prouvé qu'il n'y avait eu aucun tir de missile, que l'on avait mis en scène la chute d'un missile bricolé avec des fragments de munitions hétéroclites. Selon leur information, parmi les fragments du "missile russe", il y avait même une plaque portant un texte en anglais.
"William Burns a été informé des contacts russo-géorgiens et des conclusions des experts russes sur les résultats de l'enquête sur l'incident aérien du 6 août", lit-on dans le communiqué.
Au cours de la rencontre, les parties ont échangé des vues sur un grand nombre de questions relatives aux rapports de la Russie et des Etats-Unis avec les Etats de la CEI (Communauté des Etats indépendants), indique le communiqué.