"Nos appels n'ayant pas été entendus, la partie russe est obligée d'adopter certaines mesures administratives et juridiques conformément à la législation russe et à la pratique internationale", lit-on en substance dans un communique du Département de l'Information et de la Presse du MID.
Ainsi, des procédures appropriées seront immédiatement engagées afin de percevoir les arriérés d'impôts du bureau du BC à Saint-Pétersbourg. Qui plus est, la partie russe ne délivrera pas de visas aux nouveaux collaborateurs se rendant en poste dans les consulats généraux de Grande-Bretagne à Saint-Pétersbourg et à Ekaterinbourg pour assurer les activités du British Council et ne prolongera pas l'accréditation à ceux qui s'y trouvent déjà.
"Si, le British Council poursuit ses activités en régions, la partie russe se réserve le droit d'adopter des mesures supplémentaires, y compris à l'égard du bureau du British Council à Moscou", dit le document.
Les branches régionales du British Council à Saint-Pétersbourg et à Ekaterinbourg auraient dû suspendre leurs activités dès le 1er janvier dernier.