"Aujourd'hui, nous avons abordé ouvertement les problèmes dans nos relations. Nous percevons une tendance alarmante, notamment l'instrumentalisation de la soi-disant solidarité européenne afin de régler des problèmes bilatéraux de certains Etats membres (de l'UE)", a indiqué M. Medvedev.
"Nous sommes toujours préoccupés par la situation en matière de droits de nos compatriotes en Lettonie et Estonie, ainsi que par une complaisance inadmissible envers les tentatives de glorifier les acolytes des nazis et la volonté manifeste de réécrire certaines pages de l'histoire de l'Europe du 20e siècle", a souligné le chef de l'Etat russe.
"Nous en avons discuté et sommes arrivés à une complète compréhension mutuelle", a-t-il ajouté.
Selon le président russe, une approche sélective et politisée de l'histoire générale est alarmante.