"Les inspecteurs ont de nouveau accès à toutes les installations de Yongbyon, y compris à l'usine de retraitement de combustible nucléaire" où ils étaient interdits d'accès la semaine dernière, a indiqué le responsable.
Pyongyang a décidé d'autoriser les inspections de l'AIEA à partir du 14 octobre après que les États-Unis ont rayé la Corée du Nord de la liste noire des États soutenant le terrorisme, a annoncé lundi soir Melissa Fleming, porte-parole de l'AIEA, en se référant à la partie nord-coréenne. Elle a indiqué que l'AIEA n'était pas encore au courant des mesures de contrôle approuvées samedi par la Corée du Nord et les États-Unis.
Le dossier nucléaire nord-coréen fait l'objet depuis 2003 de consultations à six réunissant la Russie, les États-Unis, la Chine, la Corée du Nord, la Corée du Sud et le Japon.