"Nos objectifs sont clairs: nous ne voulons pas faire de Gaza un satellite de l'Iran, et nous ne voulons pas un cessez-le-feu mais la fin de la terreur", a-t-il déclaré dans une interview publiée jeudi par le quotidien italien La Repubblica.
Après une semaine de bombardements, Israël a lancé le 3 janvier une opération terrestre contre la bande de Gaza dans le but de mettre fin aux tirs de roquette palestiniens. Le conflit a déjà fait plusieurs centaines de morts à Gaza.
Evoquant la situation humanitaire dans l'enclave, M. Peres a démenti le blocage présumé des convois d'aide humanitaire. "Le flux (d'aide humanitaire) ne s'est jamais tari. L'embargo ne s'étend qu'aux armes iraniennes, pas aux médicaments. Nous ne voulons pas de crise humanitaire", a-t-il souligné.