"A condition que les décisions nécessaires soient adoptées, nous pourrions y envoyer nos observateurs et des observateurs de la CEI", a-t-il indiqué rencontrant le leader du Courant patriotique libre (CPL), le général Michel Aoun.
La Russie envisage de maintenir des contacts énergiques avec l'ensemble des principales formations politiques du Liban, jugeant que "cette position est parfaitement nécessaire pour maintenir un bon climat" dans les rapports politiques bilatéraux et les liens interparlementaires.
Selon le sénateur russe, la position de Moscou rejette toute ingérence dans les affaires intérieures du Liban. "Tous les mécanismes nécessaires au règlement existent à l'intérieur du Liban", a-t-il estimé.
La rencontre a donné lieu à l'examen du développement des relations parlementaires entre les deux pays. Notant que les 83 régions russes étaient ouvertes au développement de projets conjoints, Alexandre Torchine a invité Michel Aoun à visiter des entités de la Fédération à l'issue des élections libanaises.
