Une journaliste japonaise a trouvé la mort dans la ville syrienne d'Alep (nord), théâtre de violents affrontements entre les troupes gouvernementales et l'opposition armée, rapporte mardi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
D'après la source, la journaliste, dont le nom est tenu secret, a été tuée dans le quartier de Sleimane al-Halabi, dans l'est de la ville.
Par ailleurs, trois journalistes arabes et un correspondant turc sont portés disparus, indique l'OSDH.
Aucune confirmation officielle n'est disponible pour le moment.
Les médias occidentaux diffusent souvent les données fournies par l'OSDH. Toutefois, le ministère russe des Affaires étrangères met en doute l'authenticité des informations de cette organisation. Selon le ministère russe, l'OSDH compte seulement deux personnes - le chef de cet organisme, Rami Abdul Rahman, qui n'a même pas de diplôme d'études secondaires, et son secrétaire et interprète. M.Abdul Rahman a annoncé dans une interview qu'il résidait en permanence à Londres, où il tenait un café.
